tag:blogger.com,1999:blog-51633202330397239792024-03-13T00:29:00.266+01:00Traversée du Vercors à VTT en autonomieGTV à VTT en autonomie complète (septembre2008)Titof6.9http://www.blogger.com/profile/15849472088878995303noreply@blogger.comBlogger7125tag:blogger.com,1999:blog-5163320233039723979.post-89952885101045451952008-09-20T23:30:00.020+02:002008-10-05T18:24:03.378+02:00Grand Tour du Vercors : le projet<span style="font-size:78%;">VisuGPX by </span><a href="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php"><span style="font-size:78%;">Skitour</span></a><br /><iframe marginwidth="0" marginheight="0" src="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php?i=1223223577&iframe=1&small" frameborder="0" width="400" scrolling="no" height="420"></iframe><br /><br /><br /><p align="justify"><span style="font-family:arial;">Suite à une discussion sur le forum <a href="http://www.utagawavtt.com/">UtagawaVTT</a>, l’idée m’est venue au début de l’année 2008 de faire le tour du Vercors à VTT. Le tour du Vercors est un tracé balisé d'environ 250 kilomètres, qui fait l’objet d’un Topoguide. Tout de suite, nombreux et enthousiastes sont les participants potentiels. Mais tout le monde n’est pas d’accord sur la formule :</span></p><div align="justify"><ul><li><span style="font-family:arial;">soit avec une voiture suiveuse, </span></li><br /><li><span style="font-family:arial;">soit en « semi-autonomie » avec un sac à dos et bivouac en gîte, </span></li><br /><li><span style="font-family:arial;">soit en autonomie complète. </span></li></ul></div><p><span style="font-family:arial;">Pour chaque formule je trouve des participants. Mais c’est la version bivouac en tente et matériel transporté dans des remorques qui m’attire le plus. La personne qui est tout de suite partante pour ce genre d’expérience est Régis. D’autant plus qu’il n’en n’est pas à son premier coup d'essai. En effet, le Maroc et la traversé de l’Islande sont à son palmarès. Cependant, j’entends dire à droite et à gauche, que tracter en VTT une remorque sur le tracé du Grand Tour du Vercors, risque d’être très galère. En effet certains passages relèvent du portage et non du poussage et risquent d’être "compliqués" avec une remorque. C’est pourquoi, avec l’aide des modérateurs du forum de la GTV, j’imagine une variante avec des étapes plus courtes ( 30 kms) et plus praticables pour un VTT et une remorque chargée à bloc. Après plusieurs mois de préparation, le tracé est finalisé : 180 kilomètres et environ 6000 mètres de dénivelé positif à faire en 5 jours. Septembre arrive : nous nous tenons prêts pour le départ…</span> </p>Titof6.9http://www.blogger.com/profile/15849472088878995303noreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-5163320233039723979.post-3300113840943535972008-09-19T22:37:00.009+02:002008-10-05T10:46:41.479+02:00Mardi 09 septembre 2008 : Prologue<span style="font-size:78%;">VisuGPX by </span><a href="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php"><span style="font-size:78%;">Skitour</span></a><br /><iframe marginwidth="0" marginheight="0" src="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php?i=1223042857&iframe=1&small" frameborder="0" width="400" scrolling="no" height="420"></iframe><br /><br /><div align="justify"><a href="http://4.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNLAelUFQYI/AAAAAAAAAAg/AVSlSrBreCg/s1600-h/IMGP0002.jpg"></a><span style="font-family:arial;"><a href="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNQNyvzK79I/AAAAAAAAAaE/h_RdSlPpGZI/s1600-h/IMGP0002.jpg"></a><a href="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNktQsdB4aI/AAAAAAAAAcg/o2m1El2Wo18/s1600-h/IMGP0002.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5249276605511098786" style="FLOAT: left; MARGIN: 0px 10px 10px 0px; CURSOR: hand" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNktQsdB4aI/AAAAAAAAAcg/o2m1El2Wo18/s200/IMGP0002.jpg" border="0" /></a>Il est à peu près 18 heures quand nous arrivons à Meaudre. Le temps de trouver une place pour nous garer, de décharger le matériel, nous enfourchons nos montures pour quelques tours de pédales : Une BobYak attelée à un Cannondale Scalpel pour Régis et une Extrawheel tractée par un Lapierre X-Control 2005. Quelques kilomètres suffisent pour nous rendre compte de l’ampleur de la tache qui nous attend dans les prochains jours : tracter une vingtaine de kilos chacun sur presque 200 kilomètres…au bout d’une demi heure, alors que la lumière du jour s’atténue, nous décidons de nous approcher du bois avoisinant pour chercher un lieu de bivouac. Près du lieu dit « la ferme de julien » nous trouvons un sous-bois qui fait parfaitement l’affaire. Après quelques coups de pelle pour terrassement, la tente est rapidement dressée. Une petite soupe Knorr et un « lyoph » à la frontale et nous allons nous coucher. La nuit est calme même si quelques gouttes de pluies tombent pendant la nuit.</span></div>Titof6.9http://www.blogger.com/profile/15849472088878995303noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5163320233039723979.post-39947720474615336782008-09-19T17:38:00.010+02:002008-10-05T17:20:43.149+02:00Mercredi 10 septembre 2008 : jour 1<span style="font-size:78%;">VisuGPX by </span><a href="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php"><span style="font-size:78%;">Skitour</span></a><br /><iframe marginwidth="0" marginheight="0" src="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php?i=1223196612&iframe=1&small" frameborder="0" width="400" scrolling="no" height="420"></iframe><br /><br /><div align="justify"><span style="font-family:arial;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPHkO43s7I/AAAAAAAAAZ0/WLTKWY07Q78/s1600-h/IMGP0011.jpg"></a></span></div><div align="justify"><span style="font-family:arial;"><span style="font-family:arial;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPHkO43s7I/AAAAAAAAAZ0/WLTKWY07Q78/s1600-h/IMGP0011.jpg"></a></span></div></span><span style="font-family:arial;"><div align="justify"><br /></div><div align="justify"><span style="font-family:arial;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPHkO43s7I/AAAAAAAAAZ0/WLTKWY07Q78/s1600-h/IMGP0011.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5247757416102605746" style="FLOAT: left; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPHkO43s7I/AAAAAAAAAZ0/WLTKWY07Q78/s200/IMGP0011.jpg" border="0" /></a></span></div><div align="justify">Réveil 07 heures, tout est mouillé mais il ne pleut pas. On peut donc déjeuner et plier le campement tranquillement. On fait une halte à Méaudre pour le pique-nique de midi et pour acheter quelques piles pour frontales et GPS. C’est là que nous sommes surpris par une averse. Mais comme le dit le dicton : « pluie du matin, n’arrête pas le pélerin », le moral reste au beau fixe. Dès que les « Gore-tex » sont enfilées, on prend la route. Léger cafouillage au démarrage car les premiers kilomètres de la GTV sont communs avec la fin du parcours. Heureusement, nos GPS sont là pour nous ramener dans le droit chemin. Nous retrouvons alors la bonne direction et montons doucement par des sentiers, des routes forestières et autres pistes de ski de fond. Malheureusement, Régis qu<a href="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNqfyAFaH8I/AAAAAAAAAdY/7itIoAzO8ys/s1600-h/IMGP0036.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5249683997018693570" style="FLOAT: right; MARGIN: 10px 0px 10px 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNqfyAFaH8I/AAAAAAAAAdY/7itIoAzO8ys/s200/IMGP0036.jpg" border="0" /></a>i est un peu malade et certainement fiévreux, boit plus qu’à l’accoutumé et m’annonce, une fois le refuge de la Gève passé, qu’il n’a plus d’eau. Je décide alors de me rationner pour pouvoir partager ce qui reste dans ma poche Platypus. Nous cherchons une source sur notre route mais en vain. Nous pensons trouver de l’eau au refuge de Poya. Refuge que nous n’avons jamais trouvé. Nous décidons de continuer notre chemin dans l’espoir de trouver un point d’eau plus loin. A mesure que nous avançons, la pente se fait plus soutenue et sommes parfois obligés de mettre pied à terre pour pousser notre chargement. De plus, le soleil étant revenu, l’évaporation de la pluie du matin <a href="http://4.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNNKUcUFhwI/AAAAAAAAAAo/SxZ21Os4lFI/s1600-h/IMGP0045.jpg"></a>crée une ambiance chaude et moite. Au pied de la Sure, nous ne manquons pas d’admirer la vue au bord d’un aplomb à couper les jambes. Les heures passent et Régis propose de <a href="http://4.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNqdVdA6wBI/AAAAAAAAAdM/ExrzwDIzb74/s1600-h/IMGP0045.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5249681307545026578" style="FLOAT: left; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://4.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNqdVdA6wBI/AAAAAAAAAdM/ExrzwDIzb74/s200/IMGP0045.jpg" border="0" /></a>pique-niquer en haut d’une piste de ski que nous traversons. Là nous rencontrons un cueilleur de champignon…hallucinogène ! Il nous explique que : « C’est pas pour le même « délire » que le notre »…</div><div align="justify">Après un repas frugal, nous reprenons notre route et continuons notre progression le long de la crête. Par chance la pente s’est un peu adoucie. Une fois la Molière atteinte nous dévions notre route du tracé originel, car une source se trouve un peu plus bas et nous permet de faire le plein d’eau. Cependant nous ne remplissons pas notre troisième réservoir commun, celui que l’on utilise pour le bivouac, car ayant une capacité de 6 litres, il serait trop lourd à transporter. Il faudra trouver un point d’eau en fin de journée, quelques kilomètres avant le bivouac.L’écart de route pour le ravitaillement en eau nous coûte cher car il nous a fait perdre de l’altitude. Il faut que l’on trouve un moyen de regagner le tracé de la GTV. Une halte au gîte des alpages de la Molière nous permet de discute<a href="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNqhJ74fg5I/AAAAAAAAAdk/sKeJWdZd_jE/s1600-h/IMGP0062.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5249685507719267218" style="FLOAT: right; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNqhJ74fg5I/AAAAAAAAAdk/sKeJWdZd_jE/s200/IMGP0062.jpg" border="0" /></a>r avec des randonneurs et nous indiquent le pas de Bellecombe. Après une âpre discussion, nous finissons par l’emprunter. La pente y est si forte que Régis plus habitué que moi à tracter une carriole, décide d’effectuer son portage en deux fois : d’abord le VTT, ensuite la remorque. Moi, têtu comme une bourrique (ça tombe bien), tente de monter tout l’ensemble de mon attelage en une seule fois. Il ne reste alors que quelques dizaines de mètre quand Régis vient à mon aide en soulevant la remorque. C’est donc exténué que nous regagnons le haut de la crête de la Molière. Avec le recul, je pense qu’il aurait peut être été plus judicieux, quitte à descendre dans la vallée, de le faire tout de suite. D’autant que le tracé de la GTV à pied passe par le gite de la Molière. Nous serions alors descendus sur St Nizier du Moucherotte puis aurions remonté tranquillement la vallée en direction de Lans.<br /><a href="http://2.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNqcho3LzTI/AAAAAAAAAdA/94l5bbmi2KU/s1600-h/IMGP0066.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5249680417372228914" style="FLOAT: left; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNqcho3LzTI/AAAAAAAAAdA/94l5bbmi2KU/s200/IMGP0066.jpg" border="0" /></a>Une fois la crête regagnée, nous reprenons notre route. Mais seulement pour quelques kilomètres. Un nouvel obstacle ralentit notre progression : des bucherons indélicats ont abattu des conifères en travers du chemin. Avec un VTT, nous aurions franchi cet obstacle par un simple portage. Mais là avec les remorques, c’est une toute autre histoire…<br />L’après midi est bien avancé quand nous commençons à nous soucier de notre bivouac et de l’eau nécessaire aux repas. Après une folle descente, ralentie seulement par un déjentage, nous tentons de demander de l’eau à l’Auberge de la Croix Perrin. Sans sourire superflu, le tenancier répond à notre requête et nous laisse remplir notre outre de 6L. Il est alors 17H30 passé. Nous pouvons commencer à chercher un lieu de bivouac. Nous passons devant une clairière de fougère dans les environs de La Combe de Servagnet. Comme le lieu semble propice à un campement, je propose alors de nous y arrêter pour la nuit. Mais les apparences sont trompeuses car nous n’avons pas vu qu’une mare à proximité était le repère de nombreux moustiques affamés…<br />Après s’être aspergé de « Cinq sur cinq », avoir torché une plâtrée de purée, nous faisons le bilan de cette première journée : compte tenu du relief, une trentaine de kilomètre par jour est largement suffisant lorsqu’on tracte une vingtaine de kilos. Le premier projet d’une cinquantaine de kilomètre par jour est donc irréalisable...</span></div>Titof6.9http://www.blogger.com/profile/15849472088878995303noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5163320233039723979.post-51890037729338306672008-09-19T15:00:00.014+02:002008-10-05T17:44:17.709+02:00Jeudi 11 septembre 2008 : jour 2<span style="font-size:78%;">VisuGPX by </span><a href="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php"><span style="font-size:78%;">Skitour</span></a><br /><iframe marginwidth="0" marginheight="0" src="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php?i=1223220940&iframe=1&small" frameborder="0" width="400" scrolling="no" height="420"></iframe><br /><br /><div align="justify"><span style="font-family:arial;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPC0iwR9PI/AAAAAAAAAZM/5Ze_yOfhGYI/s1600-h/IMGP0068.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5247752198755054834" style="FLOAT: left; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://1.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPC0iwR9PI/AAAAAAAAAZM/5Ze_yOfhGYI/s200/IMGP0068.jpg" border="0" /></a>Après une nuit encore arrosée, un bol de porridge et le « coup de pelle » du matin, on plie le </span><span style="font-family:arial;"><span style="font-family:arial;">camps. Régis me fait part de ses problèmes mécaniques de la veille et de ses difficultés à changer de vitesse. Après une brève inspection, je lui fais juste remarquer que la chape de son dérailleur est légèrement tordue. La décision est alors prise de faire un crochet par Lans En Vercors. D’autant</span> plus que nous devons y faire quelques courses pour le repas de midi. Arrivé là-bas, nous en profitons pour prendre la météo des jours à venir au syndicat d’initiative : des orages sont annoncés prochainement et un temps « automnale » pour les jours à venir. C’est pourquoi nous décidons, vu que nous nous dirigeons vers la réserve de hauts plateaux, de dormir dans du « dur » la nuit prochaine. Il nous faudra donc trouver une cabane ou un refuge. Après quelques courses et une succincte remise en état du dérailleur par le mécano d’Intersport (que nous remercions bien au passage), nous pouvons, enfin, nous mettre en selle.</span></div><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Petit flottement habituel pour retrouver le tracé GTV. Nous passons par Le Peuil et au lieu de récupérer l<a href="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPC019CVkI/AAAAAAAAAZU/0b00d9jSh7Y/s1600-h/IMGP0078.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5247752203908830786" style="FLOAT: right; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPC019CVkI/AAAAAAAAAZU/0b00d9jSh7Y/s200/IMGP0078.jpg" border="0" /></a>e tracé vers Les Blanc, comme nous aurions dû, Régis préfère couper par la Combe du Crêt, quitte à couper à travers bois pour regagner le chemin prévu. C’est donc contrarié que je le suis. Nous mettons alors trois quart d’heure pour pousser comme des forçats nos montures sur à peine 1 km et gagner 200 m de dénivelé positif… Par chance, contrairement à ce qu’indiquait la carte, le « mur » emprunté nous ramène sur la route Forestière des Fayolles. Nous pouvons alors remonter sur le vélo et pédaler tranquillement (car la pente reste soutenue) jusqu’au sommet. Arrivé un peu avant le belvédère, nous nous séparons car Régis pense avoir trouvé « un raccourcis ». Refroidi par notre précédente expérience, je préfère suivre les panneaux GTV et y prendre ma photo. Car comme son nom l’indique, la vue sur Villard de Lan est superbe. Nous nous rejoignons au Collet du Furon où nous mangeons rapidement. </span></div><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Après le repas nous repartons. Cette<a href="http://2.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPC1wJJ98I/AAAAAAAAAZc/Oo2t23JJep4/s1600-h/IMGP0085.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5247752219528918978" style="FLOAT: left; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPC1wJJ98I/AAAAAAAAAZc/Oo2t23JJep4/s200/IMGP0085.jpg" border="0" /></a> fois-ci c’est que de la descente jusqu’à Villard. Malheureusement une partie est si technique (un torrent asséché) que nous sommes obligés de mettre pied à terre. Les 2 freins hydrauliques ne sont pas assez puissants pour ralentir l’attelage et la remorque a tendance à vouloir passer devant le vélo…Quelques centaines de mètres plus loin, le chemin devient plus praticable et nous amène rapidement dans les faubourg de Villard de Lan. Jusqu’à Corrençon le profil alterne montées et descentes, traversée des ruisseaux de Fon Noire et De La Fauge. Tout se passe bien jusqu’aux Pouteils où une déviation, pour cause d’éboulement, nous oblige à devier notre route. Grâce aux GPS, nous voyons rapidement qu’en coupant à travers champs nous pouvons contourner l’obstacle. Mais passer des clôtures barbelées avec VTT et remorques s’avère vraiment compliqué. En entrant dans Corrençon, j’aperçois une charmante fontaine (un ourson crachant de l’eau). Je décide de faire le plein. Je demande tout de même à une habitante si cette eau est potable. Pour seule réponse, elle me signale qu’elle n’est pas contrôlée. Je lui rétorque alors : « Et bien on va la contrôler… ». Par sécurité, j’ajoute quelques comprimés de micropur et me voilà donc chargé de 3 kilos de flotte.</span><span style="font-family:arial;"><br /><a href="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPD_XuIN9I/AAAAAAAAAZk/ya3L9xFmJE0/s1600-h/IMGP0087.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5247753484283426770" style="FLOAT: right; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPD_XuIN9I/AAAAAAAAAZk/ya3L9xFmJE0/s200/IMGP0087.jpg" border="0" /></a>Une fois à Corrençons, nous nous dirigeons vers le golf car notre objectif est de quitter le tracé officiel de la GTV pour rejoindre la variante via Fleur du Roy et le Pas de l’Ane. Comme nous l’avons signalé plus haut, notre souci à ce moment est de trouver un abri en dur où l’on puisse trouver de l’eau. Nous croisons deux charmants randonneurs qui, ayant fini leur ballade, nous donnent toute l’eau qu’il leur reste. Environ 2 litres, c’est suffisant pour le repas du soir. Mais pour le petit déjeuner du lendemain, ça risque de coincer. Il nous signale que l’Auberge du Clariant à proximité de notre route est fermée mais que L’Auberge du Roybon est toujours ouverte. Il faut cependant pousser un peu plus loin et ça grimpe…Il nous indique aussi une cabane où une barrique est installée pour récupérer l’eau de pluie. Étant donné qu’on a avec nous un purificateur, on tente le coup. Une fois devant la fameuse barrique, nous jugeons l’eau vraiment impropre à la consommation. Même avec le purificateur… </span></div><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Tans pis ! Nous reprenons notre <a href="http://2.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPD_rHKvPI/AAAAAAAAAZs/WpEIBWGSi8c/s1600-h/IMGP0091.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5247753489488723186" style="FLOAT: left; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNPD_rHKvPI/AAAAAAAAAZs/WpEIBWGSi8c/s200/IMGP0091.jpg" border="0" /></a>chemin. Quelques kilomètres plus loin nous arrivons à la Baraque Guillet. La « casemate » ne paie pas de mine mais il est tard, nous somme fatigués et nous grimpons depuis Corrençon soit presque 300 m en 6 kilomètres. Bref, nous décidons de passer la nuit ici. Même si on dort sous un toit, la tente est dressée à l’intérieur afin de la sécher et d’améliorer notre confort. A peine avons nous fini notre soupe chinoise, notre repas lyophilisé et notre Ricola quotidiens, que l’orage commence à gronder. A ce moment nous avons la présence d’esprit de laisser dehors tous les récipients que nous avons afin de récupérer un peu d’eau de pluie. Vu ce qui est tombé, nous avons eu beaucoup de chance que cet orage éclate la nuit pendant que nous étions à l’abri. Durant cette journée, nous avons parcouru une trentaine de kilomètres mais plus de 1000 m de dénivelé positif.</span></div>Titof6.9http://www.blogger.com/profile/15849472088878995303noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5163320233039723979.post-88461128139459019582008-09-18T13:33:00.024+02:002008-10-05T18:01:40.348+02:00Vendredi 12 septembre 2008 : jour 3<span style="font-size:78%;">VisuGPX by </span><a href="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php"><span style="font-size:78%;">Skitour</span></a><br /><iframe marginwidth="0" marginheight="0" src="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php?i=1223221636&iframe=1&small" frameborder="0" width="400" scrolling="no" height="420"></iframe><br /><br /><div align="justify"><span style="font-family:arial;"><a href="http://2.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNORqfGrIjI/AAAAAAAAAYM/WHnaA_NcQQQ/s1600-h/IMGP0102.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5247698149906784818" style="FLOAT: left; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNORqfGrIjI/AAAAAAAAAYM/WHnaA_NcQQQ/s200/IMGP0102.jpg" border="0" /></a>Il a plu toute la nuit. Au petit matin il pleut toujours. Le point positif : nos écuelles sont pleines d’eau. On déjeune donc à l’eau de pluie. Nous sommes rapidement prêts et nous nous mettons en route. Aujourd’hui est un grand jour : nous nous attaquons à la réserve des hauts plateaux. Ce coin est très peu peuplé. Par conséquent, il nous faut être totalement autonomes. C’est pourquoi, dans un premier temps, nous revenons sur nos pas en direction de l’Auberge de Roybon pour faire le plein d’eau. Nous passons par Le Pas de La Sambue. En route nous apercevons 2 biches. Je ne sais pas si c’est le secteur, ou si cela vient du temps, mais on sent que c’est plus sauvage ici. Après 7 kilomètres on arrive à l’auberge. Manque de bol, l’établissement est fermé pour changement de propriétaire... Le patron accepte tout de même de nous vendre des bouteilles minérales. Nous sommes alors fin prêts. </span></div><br /><br /><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Nous prenons cap plein sud à travers un chemin forestier en léger faux-plat montant. Parfois une bosse un peu plus technique nous oblige à poser pied à terre, voire à porter à deux nos attelages. De temps en temps, le chemin devient une route mais en très mauvais état. Midi passe et il pleut toujours. Comme nous sommes détrempés, <a href="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNOU3XQMmXI/AAAAAAAAAYs/MSJcDC6vbQc/s1600-h/IMGP0106.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5247701669672425842" style="FLOAT: right; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNOU3XQMmXI/AAAAAAAAAYs/MSJcDC6vbQc/s200/IMGP0106.jpg" border="0" /></a>nous décidons de manger chaud. Mais pour cela il nous faut trouver un abri pour faire fonctionner "le bleuet". Nous essayons de rallier un waypoint indiquant la baraque des Bachassons. Malgré la pugnacité de Régis, la cabane est impossible à trouver. Les coordonnées GPS sont elles justes ? Pas sûr. Nous continuons donc. Nous trouvons une autre cabane sur notre route mais celle-ci est fermée. Enfin kilomètre 30, nous arrivons à la Maison Forestière de Pré Grandu. Même si elle est fermée, nous y trouvons un abri pour sortir le réchaud. Une bonne soupe et quelques tranches de saucisson grillées réchauffent nos organismes gelés par plus de quatre heures passées sous la pluie. Nous en profitons pour changer nos vêtements trempés. En partant nous rencontrons un cavalier aux joues rouges. "...Je lui demande si l’eau qui coule de la source est bonne et il me rétorque : « que c’est pour les chevaux ». Après coup je me demande s’il n’a pas voulu dire que « l’eau, c’est pour les chevaux »… "</div></span><br /><br /><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Nous reprenons la route. Etant donné les kilomètres parcourus nous aurions pu nous arrêter ici, mais il nous faut avancer si on ne veut pas rentrer trop tard dimanche. De plus vue les conditions climatiques (température inférieure à 10°C), il est préférable de dormir au chaud et au sec. Après un tel pique nique, la reprise est dure. La pluie s’est transformée en crachin. Le chemin que nous suivons monte doucement et nous permet des développements relativement importants. A mesure que nous nous élevons, le paysage change : la végétation se fait plus rare et le brouillard s’épaissit. Nous croisons un gardien de l’ONF à cheval. Son regard sévère nous rappelle que nous<a href="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNu-s7bugDI/AAAAAAAAAd4/7Y7hr3d6mbk/s1600-h/IMGP0116.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5249999469707952178" style="FLOAT: right; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNu-s7bugDI/AAAAAAAAAd4/7Y7hr3d6mbk/s200/IMGP0116.jpg" border="0" /></a> sommes ici dans une réserve naturelle et que nous nous devons de la respecter. Quelques krns plus loin, nous arrivons à la fontaine de Gerland. Puis, nous rejoignons le GR91 qui nous amène vers la Cabane de Pré Peyret. Le refuge est très sympathique et aurait pu être idéal pour passer la nuit. Mais l’avenir nous dira que nous avons bien fait de ne pas rester. Là, nous y faisons connaissance avec un randonneur qui y faisait sécher sa tente car il nous raconte comment il a passé la nuit précédente sous l’orage, au bord de la crête…il nous souhaite une bonne route et nous reprenons notre chemin sur le GR93, cette fois-ci. Le terrain est de plus en plus rocailleux et des « bosses » se suivent les unes après les autres. La fatigue et les conditions <a href="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNu_0hWHKBI/AAAAAAAAAeE/bxYQ4cAVSqE/s1600-h/IMGP0118.jpg"><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5250000699655661586" style="FLOAT: left; MARGIN: 10px; CURSOR: hand" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNu_0hWHKBI/AAAAAAAAAeE/bxYQ4cAVSqE/s200/IMGP0118.jpg" border="0" /></a>climatiques aidant, c’est à chaque fois un véritable calvaire pour les passer. Arrivé à la fontaine des Econdus, le vent qui souffle en rafale s’engouffre dans le goulet. Le paysage ressemble ici, plus à celui des Highlands ecossais, qu'au paysage auquel je m'attendais lorsque j'ai préparé ce voyage. Nous sommes alors, sévèrement accueillis par une « meute » de patous. Le berger surgit de nulle part, vient récupérer ses chiens. Il nous assure qu’après la prochaine bute, il n’y a plus que de la descente jusqu’au Col de Rousset. Nous demandons qu’à le croire mais sa notion de descente est bien étrange...</span></div><br /><br /><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Il commence à faire nuit quand nous arrivons au Col de Rousset. Contre toute attente, il n’y a rien d’ouvert. Le gite que nous espérions et fermé. Heureusement de nombreuses adresses sont référencées dans le Topo guide. C’est seulement à Vassieux que nous parvenons à trouver un gite d’étape. Il est cependant à 9 kms par la route…Tans pis ! Malgré la nuit et l’humidité qui tombe, nous passons le col Alexis pour atteindre la petite bourgade. Quand nous arrivons, cela fait 9 heures que nous sommes partis. Nous aurons parcouru presque 60 kms… quand nous arrivons au Gite d’étape des <a href="http://espelines.free.fr/index.htm">Les Espelines</a>, le patron un peu sec mais sympa, hallucine de nous voir arriver à la tomber de la nuit avec des remorques aux fesses. Il nous annonce que malheureusement il ne pourra pas nous sevir à manger car nous arrivons trop tard. Dommage car au menu il y avait coquelet et gratin dauphinois aux girolles... Nous devrons nous contenter d'eau chaude pour la soupe chinoise mais aussi pour la douche que nous n'avons pas pris depuis 3 jours !</span></div><br /><span style="font-family:arial;"></span>Titof6.9http://www.blogger.com/profile/15849472088878995303noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5163320233039723979.post-52452444754801004502008-09-17T23:25:00.009+02:002008-10-05T18:11:18.219+02:00Samedi 13 septembre 2008 : jour 4<span style="font-size:78%;">VisuGPX by </span><a href="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php"><span style="font-size:78%;">Skitour</span></a><br /><iframe marginwidth="0" marginheight="0" src="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php?i=1223222717&iframe=1&small" frameborder="0" width="400" scrolling="no" height="420"></iframe><br /><br /><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Quand nous nous levons le matin vers 7 heures, après un rapide coup d’œil par la fenêtre je m’aperçois qu’il pleut. Cette fois-ci la pluie tombe en diagonale car le vent s’est levé. Malheureusement c’est un vent du nord qui ne souffle pas dans la bonne direction… En temps normal, avec un temps pareil, je serais resté sous la couette. Mais là nous n’avons pas le choix : la voiture est à une soixantaine de kilomètres et si nous voulons ne pas arriver trop tard, il ne faut pas trainer. C’est aussi à ce moment que je me dis que nous avons pris la bonne décision de continuer notre progression après le refuge de Pré Peyret car on apprend qu’aujourd’hui la température au Col le de Rousset est inférieure à 5°C… Même s’ils n’ont pas eu le temps de sécher pendant la nuit, nous enfilons nos vêtements. Après avoir avalé un triple petit déjeuner (car nous ne nous arrêterons pas pour manger), nous nous mettons en selle. </span></div><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Malgré le vent de face, nous partons à vive allure. Il faut dire que le profil est légèrement descendant. Le parcours reste cependant avec ses nombreuses pierres mouillées, très exigeant et reste nerveusement éprouvant. Dans ces conditions les organismes sont mis à rudes épreuves mais aussi le matériel. Au bout de deux heures, alors que nous approchons de la Chapelle en Vercors, Régis m’apprend que sa fourche est dégonflée et qu’il n’a plus aucun amorti… il me propose alors de continuer par la route. Je fais contre mauvais fortune, bon cœur et accepte. Je passe alors mon GPS en mode route : rechercher, Méaudre, rallier, par la route. En quelques secondes, l’itinéraire le plus court et calculé. Il nous reste alors, à ce moment, 40 kilomètres à parcourir. Mais par la route, on devrait être rapidement à destination. Comme indiqué, nous suivons la départementale D178 puis D518. Le profil alterne faux plats montants et descendants. Avec le vent froid qui souffle, les descentes sont aussi pénibles que les montées. Mais à ce moment, ce que nous ne savions pas c’est que la D518 nous emporte directement tout au fond de la vallée de la Bourne. Cela n’aurait pas été trop gênant si n’était pas fermé pour cause d’éboulis…. A quelques kilomètres à peine de Méaudre nous tombons donc sur les barrières fermant l’accès à la vallée. A cet endroit nous n'avons que très peu de choix : revenir sur nos pas en empruntant la route touristique soit une trentaine de kilomètres et remontants sur le plateau de Château Julien, pas loin de 1000 m de dénivelé positif… </span></div><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Nous sommes à ce moment dans un désarroi indescriptible. Nous sortons alors la carte et Régis remarque que le PR du Tour des quatre montagnes passe à proximité. Le problème c’est que nous sommes dans un véritable canyon et qu’il va falloir passer des falaises. Sur la carte, le sentier du Pas des Rages zigzague tellement que nous devinons que la pente sera à peine praticable à pied, et encore moins avec des vélos sur le dos… Cela dit je ne suis pas optimiste car en montagne, je me méfie des chemins qui « coupent ». Et nos impressions von<img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5250004744773681410" style="DISPLAY: block; MARGIN: 10px auto; CURSOR: hand; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://2.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNvDf-lZwQI/AAAAAAAAAeQ/0bRk9DO_uZM/s200/IMGP0127.jpg" border="0" />t se confirmer : une élévation de 400 m en un peu plus de 1 km soit presque une pente de 40 % de moyenne… Avec le VTT d’une douzaine de kilo en appui sur le sac à dos, chaque lacet est un véritable calvaire. Cependant le passage de la falaise est de toute beauté et adouci un peu notre souffrance. C’est environ au bout d’une heure que nous parvenons à nous échapper de ce piège. Une fois en haut, plutôt que de continuer sur le PR, nous décidons de suivre le chemin à flanc de montagne jusqu’à Haut Méaudret. Enfin nous redescendons dans la vallée en amont de l’éboulis au niveau des Jarrand. Nous remontons alors jusqu’à Méaudre par la départementale qui à cause de la bise glacée, ne semble jamais finir. Arrivés à la voiture, il nous reste plus qu’à retourner à Vassieux pour récupérer nos remorques.<br />J’ai alors une petite pensée pour Shakleton et à son odyssée de l’Endurance. Aventure que nous avons un peu vécue dans une certaine mesure. En tous les cas dans l’esprit.</span></div><br /><div align="justify"></div><br /><br /><img id="BLOGGER_PHOTO_ID_5248441545957512802" style="DISPLAY: block; MARGIN: 10px auto; CURSOR: hand; TEXT-ALIGN: center" alt="" src="http://3.bp.blogspot.com/_8ZP_nkT0wHQ/SNY1x1MzFmI/AAAAAAAAAa0/ZhEut5owCjE/s200/IMGP0130.jpg" border="0" />Titof6.9http://www.blogger.com/profile/15849472088878995303noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5163320233039723979.post-93348559981706792008-09-16T22:09:00.006+02:002008-10-05T18:48:01.529+02:00GTV : épilogue<span style="font-size:78%;">VisuGPX by </span><a href="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php"><span style="font-size:78%;">Skitour</span></a><br /><iframe marginwidth="0" marginheight="0" src="http://www.skitour.fr/gpx/visugpx.php?i=1223225022&iframe=1&small" frameborder="0" width="400" scrolling="no" height="420"></iframe><br /><br /><div align="justify"><span style="font-family:arial;">Nous avons fait le Tour du Vercors à VTT. Mais pas exactement comme nous l'avions prévu : la météo n'a pas toujours été de notre coté et la dernière étape sans les remorques, s'est vite transformée en raid multi-sport. En tous les cas nous avons bien effectué plus de 180 kilomètres et environ 5000 m de dénivelé positif. Maintenant que j'ai testé, une chose est certaine : en autonomie, il faut vite revoir les distances des étapes à la baisse.</span></div><div align="justify"><span style="font-family:arial;"><br />Enfin, ce trip de 4 jours aura été une superbe expérience et une vraie belle aventure...</div><br /><br /></span>Titof6.9http://www.blogger.com/profile/15849472088878995303noreply@blogger.com0